*La porte du moulin s'ouvre, la lumière du soleil pénètre dans toute la pièce, éclairant les fautueils sur lesquels des rouliens discutent, les tonneaux de bière et de Ricard (^^) et la porte du bureau des candidature.
Eldoraz s'avance dans la pièce, enlève une sorte de corbeille à fruit qui était renversé sur sa tête, la met au poute chapeaux et pose son ploukoss sur sa chevelure blanche. Il retire sa grande cape rouge brodé d'or sur ses bords et l'accroche au porte capes. Il rentre un peu plus dans la pièce, affiche un grand sourire et s'exclame:*-Salut les Rouliennes! Salut les Rouliens!
*de nombreuses voix lui répondent chleureusement.
Il se dirige vers un groupe de Rouliens assis autour d'une table.*-Alors, comment ça va?
*réponse, début de conversation, au beau milieu de celle-ci, un Roulien questionne Eldo:*-Dis moi Eldo, tu nous as dit avoir fait partit de l'inquisition et tu nous en a un peu parlé, on a jamais vraiment su ce que c'était, tu pourrai nous en parler un peu plus s'il te plaît?
-Ok, si vous avez du temps, je peux vous parler de cette quêtes que nosu nous étions donné, mon frère, un ami et moi même.
C'était à l'époque où les roublards faisaient régner le chaos, la terreur et le désespoir. Mon frère et moi même étions de simple artians, nous fauchions et faisions du pain, nous n'agissions pas dans la politique Amaknéenne, nous étions presque insignifiant dans ce monde.
Tout les jours, nous subissions les foudres des roublards, persecutés, raquétés, térrorrisés... C'en fut trop, un jour, mon frère décida de s'autoproclamer Inquisiteur, puis un ami à nous et moi même décidions de faire de même, nous nous jurions de faire regner la paix en Amakna, d'aller au front contre les démons, de les faire trépasser ou de mourir au champs d'honneur, mais surtout, d'honorer ce titre d'Inquisiteur. Nous nous retrouvâmes donc à deux disciple de iop, mon frère et moi même, et un disciple de crâ, notre ami. Nous nous sommes choisi des noms d'inquisiteur, ainsi, je fut baptisié "Eldonar", "Inquisiteur Eldonar", mon frère choisi le nom de "Coteaz", Inquisiteur Coteaz" et notre ami, "Tydérius", "Inquisiteur Tydérius".
*La porte s'ouvre, entre Kodat, une canne à pêche posée sur son épaule droite, un panier rempli de poissons dans la main gauche, il salue les membres, se dirige dans un coin du moulin, met une étiquette avec des prix sur son panier et s'endort à côté.*-Nous nous mîmes donc en quête de puissance afin de pouvoir rivaliser avec l'énnemi. Nous ne tardâmes pas à être rejoind par ma femme, "Dark Soadette, que j'avais rencontré dans un kanodjédo étant jeune
*soupir* Haa... le bon temps...
Enfin, je m'égard, elle choisi donc comme nom "Inquisiteur Soadette", en effet, nous n'avions pas prévu le féminin d'inquisiteur... Elle arrêta de vénérer Osamodas pour se ranger aux côtés d'une divinité naissante: Sacrieur.
*Quelques Rouliens s'approche pour écouter.*-Ainsi, nous nous batîmes pendant longtemps côtes à côtes, détérminé et ayant la foi, nous voulions que les quatres inquisiteurs soit connu dans tout Amakna, qu'ils soient craints et respecté.
Un jour, alors que nous étions en train de pourfendre des scarafueilles, nous trouvâmes un jeune disciple de crâ, elle était triste et désepéré, elle ne savait pas combattre et n'avait pas d'ami, nous lui proposâmes de venir se battre avec nous, et, de plus en plus, elle nous rejoignait pendant nous scéances d'entrainnement. Cette crâ se nommait Kahiro.
Un jour comme les autres, mon frère et moi même nous rendions à un point de rendez-vous, pour un entrainnement habituel, mais, à notre grande surprise, nous vûmes un jeune éniripsa, habillé de noir, les ailes immaculés. Il avait déja un titre d'inquisiteur, il se nommé "Inquisiteur Kréature". Je l'adoptais très vite, lui souhaitant la bienvenue à ma première rencontre. Il dégagait une aura de sympathie, c'est bizarre, mais je me suis senti attiré^^. Il me proposait souvent son aide, que j'acceptais, il était très poli et sympathique.
Puis, un jour, les éclaireurs Amaknéens revinrent de leur quêtes tout éxités, ils avaient découvert deux citées à l'Est, deux grandes citées qui pourraient peut-être nous aider, qui pourraient nous libérer. Pour y accéder, il fallait empreinter de dangeureux chemin, pour aller vers la Citée Blanche, elle avait était nommé selon la première vu des éclaireurs, il fallait passer par la sombre forêt des abraknydes. Nous décidâmes de braver les dangers pour voir si cette citée était bien le fruit de nos espoirs.
*Zoudoul rentre dans le moulin, adresse un signe amical à tout les rouliens rassemblés autour d'Eldoraz, puis placarde un affiche sur laquelle il y a la liste de ressources qu'il recherche. Il sort.*-NOus ne fûmes pas déçus, nos rêves se réalisaient, nous pouvions enfin nous battre aux côté d'une armée determinée à libérer Amakna, mais à notre grand malheure, l'autre nouvelle citée, La Rouge, plus au sud convertisait de nombreux aventuriers. Leurs meurs étaient tout ce que nous détestions le plus: le meutres, le vol, le viol, le carnage, le sang...
Pour combattre cette citée, nous décidâmes de nous lier par le bier d'une pierre aux pouvoirs extraordinaire, nous faisions partit de notre guilde:
Inquisitor.
-Mais peu à peu notre vertu et notre foi on diminuée, des conflits éclataient entre nous, et nosu nous séparâmes. Je fut perdu sans me fidèles compagnons, je errais seul... ne trouvant pas le dieux qui me convenait, ne trouvant pas d'amis. J'ai décider de me retirer de la vie Amaknéenne. Je suis retourné à la ferme familliale...
-Cependant, si je suis de retour aujourd'hui, c'est grâce à mon frère, il avait continué sa route lui, avait rencontré des gens puissants et des amis, il avait trouvé un guilde sympathique. Il m'en parlait de plus en plus, j'avais de plus en plus envie de rejoindre ces gens sympathique que je fini par connaître avant même de les rencontrer, j'ai décider d'ouvrir les yeux et retourner auprès du Dieux qui m'avait choisi à ma naissance, Osamodas, j'ai toujours gardé son amour paternelle au font de moi...
Je suis très heureux en ce jour de vous avoir rejoind, mais surtout, qu'un inquisiteur que j'ai beaucoups aprécié nous ai rejoinds aussi, krea
.
*La nuit tombe dehors, plusieurs rouliens baillent et certains s'endorment déja, d'autre quittent le moulin en souhaitant la bonne nuit aux derniers restant. Il ne reste plus qu'Eldoraz, assi seul devant la table autour de laquelle étaient tous ses auditeurs quelques instant auparavant. Il se sert un dernier verre de la bouteille sur laquelle on peut lire "51" . Il se relève, remet son ploukoss dans son sac, repose sa corbeille à fruit sur sa tête, s'enroule dans sa cape et sort...*